domingo, julio 20, 2008

un jour de l'amour

un jour de l'amour

Une déclaration de l'Alma Siente ma poitrine, respirer mon pielsiente mon lit que tu as laissé ton mielSiente mon rire voler dans les nuages sens-moi ami dans tes sommeils(rêves) bleus Aime mon corps mon sertomame prenez tout et ne me laisse pas caerUna de sourire tu pourrais biffer si un jour tes yeux je qiueran matarCree à ma main dans mes lèvres Croit aussi en ma poitrine et qu'il(elle) a dans Il(Elle) Croit en mes yeux que tu ne veux pas mirarCree dans mes lèvres que tu ne veux pas embrasser Sent la pluie qui pleure par toi le vide sent que mon corps a crû dans ma Prise si tu vas te retourner ou prends-moi tout et ne me permets pas de pleurer


Jusqu'à ce que je quieras Puedo te regarder des heures entières, ou fermer mes yeux et t'imaginer. Je peux parler jusqu'à me fatiguer, ou m'envelopper dans le silence vide, en pensant à toi ........ je Peux se convertir : Dans le soleil radiant, et illuminer tous ton, tu t'éveilleras, ou dans la plus belle lune, pour te laisser guider dans tes nuits obscures. Je peux être un chien, pour te servir d'un gardien, et lamer tes pieds, et hurler dans mes nuits de solitude... Et et hurler dans mes nuits de solitude... Et taille me parler de l'amour, ou peut-être le dos se retourne. Et taille courir et me prendre dans les bras, ou seulement t'éloigner sans regarder. Demande jamais-ne moi plus de qu'il(elle) cesse de t'aimer puisque me demander cela serais de demander comme à l'oiseau que j'ai n'eu pas chanté comme lui demander à la mer de ne pas avoir déjà de sel. Il(elle) serait de cultiver comme une rose et elle tirer aux ordures. Ce serait comme un regard au ciel et l'imaginer sans des étoiles. Puisque cela est mon amour, quelque chose qui est ... qui reste,une force supérieure à ma volonté(affection), une énigme sans des hiéroglyphes, un sentiment supérieur à la douleur, sans crainte de la mort. Ne me demande pas alors, de qu'il(elle) cesse de vouloir t'aimer Donc, il(elle) est sans que tu ne le saches, une raison de vivre, de s'éveiller chaque jour, et recommencer à marcher ... et de suivre ... et de suivre... Jusqu'à ce qu'il approchète, le jour dans lequel tu m'aimes, et viens à mon côté

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